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Comment faire en sorte que les enfants apprennent en ligne cet été

Ou pourquoi votre enfant devrait rejoindre les 2500+ qui ont déjà prospéré dans nos cours de codage virtuels !

Hannah Balllard
July 2, 2020

Cette année a peut-être pris une tournure particulière, mais avec l’été qui est là, une chose reste la même : les enfants ont besoin de s’occuper. Chez KCJ, nous éduquons et divertissons les enfants du Canada tout au long de l’été grâce à nos cours de programmation en ligne.

Les cours en ligne permettent aux enfants d’apprendre tout en découvrant davantage ce qui les passionne et en se faisant de nouveaux ami·e·s. Ils peuvent également permettre au reste de la famille de profiter de quelques heures de calme pendant ce temps.

Qu’est-ce qui rend nos cours de programmation en ligne si spéciaux ? Nous sommes l’un des premiers à en proposer ! Plus de 763 heures de programmation ont été proposées aux enfants par le biais de nos clubs de programmation Code Club Canada au cours du premier mois du confinement. Depuis mars, plus de 943 éducateur·rice·s ont participé aux formations pour les enseignant·e·s en ligne, tandis que plus de 2558 enfants ont créer, connecté, et participé à nos ateliers en ligne.

Nous avons animé 659 ateliers en ligne entre le 16 mars et le 31 mai 2020.

Mais ne nous croyez pas sur parole. Les instructeur·rice·s qui travaillent avec les enfants dans les cours de programmation en ligne vous partagent certaines de leurs histoires.

La technologie donne l’opportunité aux enfants de collaborer dans tout le pays

Capture d'écran des ateliers en ligne du KCJ

Voici un aperçu de nos ateliers en ligne.

Maia, une instructrice KCJ basée à Calgary, a constaté que grâce à la technologie, il est plus facile pour les enfants de s’entraider :

« Lors de cette séance, les enfants avaient déjà de l’expérience en programmation et ils étaient très bavards! L’atmosphère était vraiment bonne dans la “salle de classe”. Les enfants ont fait preuve de collaboration, ils étaient toujours prêts à s’aider les uns les autres pour terminer les projets, ils échangeaient de nouvelles idées et résolvaient les problèmes qu’ils rencontraient. C’était très amusant de leur enseigner la programmation! »

Pour Becca, instructrice à l’île du Prince-Édouard, les ateliers ont permis de faire naître de nouvelles amitiés :

« Cette semaine, j’avais deux enfants, une fille de deuxième année originaire de Toronto et un garçon de troisième année de Terre-Neuve, qui parlaient plus entre eux qu’avec moi! Un jour, ils ont découvert comment aimer et commenter les projets Scratch de l’autre. Dès le lendemain, ils avaient échangé leurs noms d’utilisateur sur Roblox et Minecraft pour rester en contact. À la fin de la séance, ils ont passé deux heures à jouer ensemble! »

Nous avons éduqué 2558 enfants en ligne entre le 16 mars et le 31 mai 2020.

Les cours de petite taille et la possibilité du partage d’écran donnent lieu à des moments particuliers de leadership

Nos instructeur·rice·s sont formidables, et ils et elles savent mieux que quiconque comment gérer la foule, même dans les salles de classe les plus dynamiques. Cependant, les salles de classe virtuelles ont fait naître un nouveau style d’apprentissage où certains enfants peuvent s’épanouir. En travaillant en plus petits groupes sur Whereby, un service qui permet aux élèves de partager facilement leurs écrans, certains enfants profitent de ce changement de rythme de travail pour améliorer leurs capacités de leadership!

Gabrielle, qui travaille à Edmonton, est une instructrice tellement motivante que ses élèves reviennent souvent à ses séances! Ce fut le cas pour un garçon en particulier qui a trouvé qu’une séance de Rots spatiaux n’était pas suffisante et a donc décidé de revenir à une autre :

« Vers la fin de la séance, il ne restait que deux enfants. Le garçon avait déjà participé à l’atelier Rots spatiaux et il le connaissait donc en partie. Au moment de modifier le costume du dinosaure lors du rot, il m’a demandé s’il pouvait l’expliquer à la classe, et c’est ce qu’il a fait! En seulement 3 minutes, il a expliqué en détail, étape par étape, comment modifier le costume. C’était formidable. »

German, notre instructeur principal pour l’est du Canada, a assisté à l’un des ateliers de Sophie, qui travaille à Montréal. Il a été agréablement surpris de voir les enfants résoudre leurs problèmes par eux-mêmes en échangeant leurs idées :

« À plusieurs occasions, Sophie n’avait qu’une fonction de soutien. Souvent, les enfants venaient lui faire part de leurs doutes ou hésitations sur la façon de faire quelque chose, et avant même que Sophie ne puisse répondre quoi que ce soit, ils expliquaient ce qu’ils pensaient devoir faire. Dans ces situations-là, ils étaient entièrement capables de trouver la solution par eux-mêmes, mais cela les rassurait d’échanger avec Sophie. »

Les écrans d’ordinateur comme toiles où coder sa créativité

On croit souvent à tort que les sujets de STIM ne sont pas inspirants, mais ce n’est pas vrai. En réalité, nous pensons que la collaboration, la créativité et la curiosité constituent les trois éléments essentiels pour inciter les enfants à apprendre la programmation.

Terry, instructeur basé à Ottawa, a récemment tenu un atelier sur le thème de l’art où les enfants peignaient des tableaux à l’aide de leur curseur. Le groupe a grandement apprécié l’association de la programmation et de la créativité :

« Nous construisions un code pour un pinceau (sprite) un bloc à la fois : le faire bouger, tourner, changer sa taille. C’était assez basique, jusqu’à ce que nous ajoutions un bloc pour changer aléatoirement la couleur de la peinture, et à ce moment-là des exclamations se sont fait entendre! Les enfants ont beaucoup aimé peindre à l’aide de la programmation, créer des sprites personnalisés et adapter les réglages aléatoires. »

Pour les enfants à l’esprit artistique, la programmation est le langage qui leur permet d’exprimer leur créativité. En petits groupes, les instructeur·rice·s peuvent adapter les ateliers à ces enfants. Susan, lors d’un appel depuis Halifax, a partagé cette histoire sur une programmeuse en herbe :

« J’ai enseigné la programmation à une fille qui avait un petit peu d’expérience sur Scratch. Nous avons donc passé en revue les éléments de base de chaque projet pendant environ une heure, puis les extensions pendant le reste de la séance. Elle avait beaucoup d’idées sur la façon dont elle pourrait adapter ses projets. Elle avait une préférence pour ajouter des sons, mais je lui ai également proposé d’autres extensions amusantes. »

Vous voulez voir nos instructeur·rice·s à l’action? Inscrivez-vous à nos séances en ligne ici.

Nous sommes incroyablement reconnaissants à tous nos partenaires de financement qui nous ont permis d’atteindre tant d’enfants et d’éducateurs grâce aux espaces d’apprentissage numériques pendant le confinement. Un grand merci à SAP, Accenture, Google, and Ubisoft pour leur confiance, leur financement et leur soutien inébranlable.

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